Tout d’abord, il y a le souffle, celui qui rassure…
Ensuite arrive le son, celui qui raconte…
Virginia, Aram et Vardan soufflent leurs émotions et de ce souffle nous parviennent leurs histoires. L’histoire de l’exil, des souvenirs d’Arménie, un jour où le vent s’est levé et où il a fallu tout quitter.

Avec le vent

Le tigre de papier
Dans les débats liés à la discrimination, aux changements de société, aux violences policières, à l’islam, au voile, ou encore à l’histoire coloniale belge, à la Place Lumumba, aux statues et noms de rue de Bruxelles, certaines pensées sont restées inaudibles un temps.
Grandis dans la capitale, actifs au sein des sphères scientifiques, économiques, culturelles et socio-politiques belges, 12 intervenants m’ont consacré ce temps. Le cheminement choral, tissé à partir de leurs réponses, évoque la relation à l’histoire, aux fissures, et au sens que l’on se donne.
Entre apparitions, aspirations, oublis, il existe une résonance de quelque chose qui a tinté dés le départ. Mais que l’on n’a pas entendu. Qui entoure un débat avant même qu’il ne commence. Ce premier opus partage la sortie de cette étape trop étroite.
Le second évoquera les références et les événements, les actions menées dans le cadre de l’émancipation, du travail et des projets qui ont émergés au fil de cette résonance.