Emmanuel Massart

Emmanuel Massart n’est pas un homme de son, pas tout à fait un homme d’image. Tout au plus, il a l’envie d’aller frapper à des portes et voir ce qui est possible une fois celles-ci ouvertes. Un jour, ce fut un colombophile, fortuitement. Le jour suivant, les bureaux de l’ACSR. Ensuite, tirer la corde, avec cette préoccupation d’essayer de faire exister des gens à qui nous disons tous les jours : « vous n’existez pas. ». Cette préoccupation peut prendre d’autres formes comme une exposition aux fenêtres des maisons d’un quartier populaire (« La bibliothèque Vermeulen, une deuxième maison », 2020) ou une réalisation video sur l’amitié comme « D’après la lettre. » (2001). C’est aussi de manière plus souterraine une pratique d’écriture.